Mon Régime, Ma Perte de Poids, Mes Recettes Préférées découvertes sur Internet...
14 Février 2015
Tiré de Fourchette&Bikini
Avoir une vie saine ? Cela peut paraître difficile lorsqu’on a mène une vie telle que la nôtre. Notre quotidien est un véritable cercle vicieux ! Submergé par le travail, le stress est à son comble ! Une tasse de café, puis deux, puis trois pour rebooster un peu tout ça ! Pas le temps de manger alors un petit gâteau par ci, des petits bonbons par là. Bref, Notre partenaire Fitnext vous donne quelques astuces pour vivre sainement sans vous compliquer la vie !
Comment envisager la monodiète comme un accélérateur de bien-être ? Comment combattre le stress ? Le café est-il bon pour mon organisme ? Comment devenir un vrai joggeur ? Quels sont les aliments à favoriser ? Comment analyser les étiquetages alimentaires ? Comment lutter contre l’hypothyroïdie ?
C’est votre bon geste de ce début d’année : faire une monodiète. Mais qu’est ce qu’une monodiète ? C’est tout simplement le fait de ne manger qu’un seul aliment pendant une certaine durée. Mais alors, pour quoi faire ? Fitnext nous dit tout...
La monodiète est un véritable accélérateur de bien-être. En faire une, c’est mettre son corps dans les meilleures dispositions pour attaquer l’année. Alors certes, il n’est pas simple de se motiver pour ne manger qu’un seul aliment pendant un temps. Voici le mode d’emploi de la monodiète, pour rendre la chose aussi supportable qu’agréable pour votre corps.
D’abord, quel aliment choisir ? Un fruit de saison est une excellente solution. La pomme est d’ailleurs conseillée. Elle a un ph légèrement acide, et attire les métaux lourds. Cela permettra de nettoyer votre intestin de la meilleure manière qui soit.
Combien de temps doit durer votre monodiète ? 3 jours, c’est l’idéal. En effet, c’est le temps qu’il faut à votre flore intestinale pour se renouveler. Ainsi, vous ressortirez de cette période de monodiète avec un intestin tout neuf. Or, cela est capital.
Le rôle de l’intestin dans le corps est fondamental. C’est le siège de votre activité immunitaire. Or, notre alimentation, à 80% industrielle, traumatise vos intestins jour après jour. Les plats préparés industriellement sont raffinés au possible, et encombrent votre tube digestif de ce qu’on appelle des calories creuses, à savoir des éléments qui ne sont d’aucune utilité pour l’organisme.
Cela engendre une atteinte de vos parois intestinales, et à terme, risque de vous rendre plus vulnérable à toutes sortes de pathologies. Selon les récentes études, 8 maladies sur 10 sont dues à notre alimentation. De quoi faire réfléchir, et adopter définitivement la monodiète. Un peu de motivation suffit à votre bien-être !
Combattre le stress est devenu une lutte quotidienne. C’est sans aucun doute un mal moderne des plus répandus. De plus, en avançant dans la vie, nous devons faire face à de plus en plus d’obligations en tous genres. Famille, travail petits tracas du quotidien. Dans ce tourbillon, prenons-nous le temps de vivre ? Fitnext nous dit tout...
Nous ne vivons plus. Ou plutôt, nous vivons trop vite. Pourtant, s’initier au lâcher-prise n’est pas une honte. Certes, cela va à l’encontre de ce que les chantres de la productivité vous prescriront. Introspection et médiation n’ont pas grande popularité. On y voit là des concepts relevant d’une mode passagère parfois un peu ridicule. Et pourtant, la maxime « mens sana in corpore sano » de Juvénal n’est pas vaine. On n’est jamais meilleur que lorsque l’on avance la tête vide de tracas et autres soucis. Mieux encore, on sauve beaucoup d’énergie à refuser le stress. Énergie disponible pour d’autres activités, comme les séances de sport par exemple. Ceci n’est pas anodin lorsqu’on sait que la dépression fait des ravages dans le monde occidental, et que la France est loin d’y échapper.
Votre première séance de relaxation.
Pour les débutants, voici une séance de démarrage, simple et accessible à tous, qui ne vous prendra pas plus de quinze minutes.
Pour commencer, relâchez-vous. Dites-vous que pour les minutes qui vont suivre, rien ne doit venir altérer le cocon que vous vous créez.
Allongez-vous. Rapprochez vos deux jambes jusqu’à ce que vos genoux se touchent. Vos bras sont en position naturelle, reposant le long de votre buste. Vos mains, quant à elles, sont à plat sur le haut de vos cuisses.
Prenez une très profonde inspiration par la bouche, et bloquez pendant 30 secondes. Pendant ce laps de temps, vous allez contracter tout votre corps, tout en appliquant une pression de vos mains sur vos cuisses. Le but est de tenter de maintenir la position pendant 30 secondes, afin de prendre conscience du moindre muscle de votre corps, d’en ressentir la contraction.
Le temps écoulé, relâchez tout, expirez profondément. Fermez les yeux, et imaginez-vous que vous vous enfoncez dans le sol. Durant 3 ou 4 minutes, concentrez-vous sur votre expiration. Voilà, c’est ça le relâchement, propice à l’épanouissement personnel. Dès à présent, mettez-le à profit dans votre quotidien surmené.
S’attaquer au café a de quoi surprendre, étant donnée la popularité de la boisson en question. Pourtant, on note de nombreux désagréments pouvant à terme altérer notre santé, à boire du café à l’excès.
Le café est une boisson du quotidien. Nombreux d’entre nous l’ont adopté, et s’en remettent à ses vertus euphorisantes pour booster la journée. C’est le parent inséparable de nos petits déjeuners, et les pauses au travail ne portent pas le nom de « pause-café » pour rien. Pourtant, une consommation trop élevée de café est loin d’être sans conséquence au niveau de votre bien-être général.
La caféine contenue dans le café va provoquer un boom au niveau de notre production d’adrénaline et de dopamine. Ce sont les hormones dites de la « performance ». Voilà pourquoi, pendant les heures qui suivent l’arrivée de caféine dans notre corps, nous subissons ce qu’on appelle un « coup de fouet ». Problème, si l’on répète la chose un nombre de fois important, notre organisme va s’y habituer, et le café quotidien aura moins d’effet sur notre organisme. Voilà pourquoi nous aurons tendance à augmenter la dose nécessaire à notre satisfaction. C’est un mécanisme de dépendance.
Or, le café est un aliment acide, qui par conséquent acidifie l’organisme. Vous le constatez d’ailleurs lorsque vous en buvez, avec des aigreurs d’estomac et des remontés acides. En plus d’être peu agréable, ces phénomènes sont la preuve que vous maltraitez votre système digestif, en ne respectant pas l’équilibre acido-basique de celui-ci.
Comme nous l’avons dit, le café est un excitant. Voilà qui pose de gros problèmes lorsque vient la nuit, et qu’il s’agit de trouver un sommeil réparateur pour affronter au mieux la journée de travail qui se profile. De même, cet aspect excitant peut à la longue nuire à votre concentration. Nous sommes là en présence de deux contraintes pouvant entraver vos performances professionnelles.
Courir est une arme bien-être. S’adonner à la course, ce n’est pourtant pas anodin. Il faut adopter les bons gestes, les bonnes attitudes. Sans quoi, on risque de se dégoûter de cette activité pourtant bénéfique, et de traumatiser son système ostéo-tendineux. Fitnext nous dit tout...
La chose est désormais entendue. Faire du sport, c’est courir. Aussi, des hordes de joggeurs et de joggeuses se pressent sur nos routes. Écumant le bitume afin de perde du poids efficacement. Mais ce n’est pas le cas de tout le monde ! Certaines, voire la majorité d’entre vous, restent réticentes à la course. Au motif que « courir 8km ? Ce n’est pas pour moi ! ». C’est faux. Tout le monde, sauf exception médicale bien entendu, peut se mettre à la course à pieds.
Il faut pour cela couper court à une idée reçue très en vogue. L’objectif du running n’est pas de faire de vous des marathoniennes, en courant comme des dératées. La performance n’est pas une fin en soi. Le but, c’est d’optimiser votre perte de poids. Le tout sans heurter votre système ostéo-tendineux. Car courir de façon trop intensive, surtout lorsqu’on n’est plus habitué à ce type d’effort violent, traumatisera votre corps. Vos tendons et vos articulations se retrouveront en première ligne.
L’idée est d’adopter un rythme de course qui vous permette de produire un effort long, bénéfique pour votre organisme. Vous puiserez dans vos réserves sans « casser » votre corps. Il vous faut alors adopter la foulée dite d’endurance fondamentale. Celle-ci se caractérise par le fait que vous ne lèverez pas les genoux lors de vos impulsions. Ce faisant, vous serez en « équilibre d’oxygène ». Pour dire les choses simplement, il vous faut être capable, tout au long de votre parcours, de maintenir une conversation. Cela impose donc de courir à une allure de « grand-mère ».
Enfin, maximisez vos résultats, en courant après votre séance de sport. Ainsi, après avoir fait de la musculation, vous aurez déstocké du gras grâce à l’adrénaline et à la noradrénaline que vous libérez à l’effort. Une fois déstocké, il s’agit de consommer ce gras. C’est la que le running intervient. Courez une trentaine de minutes en endurance fondamentale après avoir soulevé de la fonte, et vous constaterez des résultats rapides et surtout, durables.
Le lait de vache est un des aliments les plus populaires en France. Il rentre dans la composition de fromages parmi les plus célèbres, qui font la renommée du patrimoine culinaire français. Pourtant, consommé à l’excès, le lait de vache peut nuire. Il existe des compléments intéressants. Fitnext nous dit tout...
Le lait de vache, une popularité usurpée
Le lait de vache a gagné sa popularité après la Seconde guerre mondiale. Il faut dire, les lobbys de l’agro-alimentaire ont bien aidé à cette publicité. Qui n’a pas en tête la petite musique « Les produits laitiers sont vos amis pour la vie ! » L’argument massue, c’est la teneur en calcium du lait de vache. Au point que dans l’imaginaire collectif, le lait de vache serait la seule source de calcium valable. Et que ne pas en boire, ce serait risquer une carence et fragiliser notre squelette.
Voilà qui relève de l’aberration nutritionnelle. Les sources de calcium dans l’alimentation existent. Elles sont même nombreuses. Si nous devions n’en retenir que deux, sachez que les amandes et les sardines sont très intéressantes. En plus d’une excellente teneur en calcium, vous ferez le plein d’omega-3, qui facilitent la lipolyse.
L’intolérance au lactose, comment la combattre
C’est un trouble très répandu. On estime qu’environ 75% de la population souffre de l’intolérance au lactose. En Asie ou en Afrique, il n’existe quasiment pas de lait de vache, ce qui peut expliquer ce chiffre. Mais en Europe, nous nous rendons peu à peu compte que le lactase, hormone permettant la digestion du lait de vache, se désactive très vite passées les premières années de notre vie. Alors, à quoi bon continuer à mal digérer ?
Des solutions de remplacement existent. Vous n’avez pas pu y échapper, c’est même devenu un phénomène de mode : les laits végétaux ont la cote. Ainsi, nous pouvons en sélectionner deux dont les bénéfices seront multiples sur l’organisme. Tout d’abord, le lait d’amandes. Ce lait dispose d’un goût très agréable et doux, qui en fait l’un des plus prisés. Il est très en vogue dans les pays méditerranéens, notamment durant la période estivale, pour son pouvoir rafraîchissant. Mais surtout, sa teneur en amandes assure un apport en omega-3 et en calcium. Le lait d’avoine est lui aussi un excellent remplaçant du lait de vache. On lui prête la vertu de stimuler l’activité cérébrale. Riche en calcium et en fibres, il sera parfait pour favoriser une digestion optimale.
Vous l’avez remarqué, tous les produits que vous achetez sont couverts d’une littérature parfois bien difficile à comprendre. Comment s’y retrouver ? Comment déjouer les pièges que les industriels nous tendent au gré des étiquettes ? Fitnext nous dit tout...
Une règle de base : plus un produit a d’ingrédients, plus il est raffiné. Il faut donc éviter les étiquettes avec des listes d’ingrédients à rallonge. Les industriels n’hésitent pas à ajouter gras, sel ou encore sucre pour solliciter ce qu’on appelle le « point de félicité » chez les consommateurs. Cette expression désigne le fait d’avoir habitué nos palais à ces goûts là, et de nous y avoir rendus accros.
De même, l’ordre d’apparition des ingrédients sur l’étiquette a son importance. Si l’eau apparaît dans les premières positions, c’est mauvais signe. Souvent les fabricants utilisent ce procédé pour alourdir le produit, et le rendre plus rentable à moindre coût.
Cancérogènes, perturbateurs endocriniens, allergéniques, de nombreux additifs sont rangées sous l’appellation E. Il faut donc se souvenir : E comme « éviter ».
Le sucre n’est pas dispensé d’astuces en tous genres. L’une d’entre elles est à connaître absolument. D’une part est inscrite la quantité de sucre sous l’appellation « glucides ». D’autre part la quantité d’amidon. Or, l’amidon, c’est du sucre ! Vous augmentez donc votre consommation de sucre sans le savoir, même si l’amidon est un glucide complexe.
Concernant le gras, évitez les acides gras saturés ou trans. En revanche, perdre du gras, ce n’est pas faire la chasse au gras ! Donc n’ayez pas peur de l’huile d’olive ou de colza. Pleines d‘omega-3, elles favoriseront votre lipolyse. En revanche, attention à la mention vague d’huile végétale. C’est un moyen très utile de cacher la présence d’huile de palme.
Enfin, privilégiez des produits locaux. Non seulement vous ferez marcher l’économie locale, qui en a grand besoin, mais en plus vous éviterez les inconvénients liés au transport des aliments.
On a coutume de dire : « mange comme un roi le matin, un prince le midi, un manant le soir ». Cette devise est très appropriée, notamment lorsqu’on tente de retrouver un sommeil réparateur. Fitnext nous dit tout...
Éviter des repas lourds le soir, c’est s’éviter des contraintes pouvant perturber le sommeil.
Lorsque vous dormez, votre corps est en position verticale. Or, la digestion se fait de meilleure façon en position verticale. Et ce pour de simples notions de gravité, assez aisées à comprendre. Il faut absolument séparer l’heure du coucher de l’heure du diner d’au moins une heure, et c’est vraiment le minimum. Sans quoi, ce que vous avez ingéré stagnera dans les anses de vos intestins. C’est une situation propice à la création de putrescences potentiellement toxiques pour l’organisme.
Il faut également éviter les associations alimentaires qui peuvent troubler votre digestion du soir, et donc votre sommeil. Est à bannir en premier lieu, l’association glucides-protéines. Manger ainsi, c’est créer de la concurrence digestive dans ses intestins. Les glucides sont digérés en milieu alcalin, les protéines en milieu acide. De quoi une fois de plus empêcher votre tube digestif de bénéficier d’une digestion calme.
Le secret, c’est d’ajouter des légumes verts à votre repas du soir. Ceux-ci sont riches en fibres. Ces derniers favorisent la bonne digestion des aliments. Ils permettent aussi de traiter l’acidité que crée la protéine animale. Voilà un moyen de préserver votre flore intestinale.
L’hypothyroïdie est devenue un mal courant, de plus en plus connu. Ce trouble hormonal réclame bien entendu suivi et traitement médical. Néanmoins, quelques conseils peuvent vous permettre de prévenir ce désagrément.
En grec, « hypo » signifie « sous ». Vous l’aurez donc compris, l’hypothyroïdie décrit un ralentissement de l’activité de la thyroïde.
Celle-ci est une petite glande située dans le cou, en dessous de la pomme d’Adam. Son rôle est de sécréter des hormones, qui régulent le métabolisme de base. Or le métabolisme de base est très important, puisqu’il s’agit de la consommation d’énergie de l’organisme au repos. Si il baisse, on dépense moins, et donc on favorise la prise de poids. L’hypothyroïdie favorise ainsi les prises de poids intempestives.
Ce syndrome, présent chez 1,5 % des femmes, peut être prévenu, combattu. Il existe par exemple des recettes alimentaires contre l’hypothyroïdie. Des condiments comme l’ail, le persil, l’oignon sont riches en iode. Or cet oligo-élément stimule les hormones thyroïdiennes. D’autres aliments sont très riches en iode, comme le homard, la langoustine, la morue, le saumon, l’aiglefin, huile de foie de morue, les algues. Attention, privilégiez le saumon sauvage, car comme tous les poissons gras, le saumon d’élevage est le siège d’un nombre très important de pesticides. C’est notamment le cas du saumon d’élevage de Norvège.
Quand on souffre d’hypothyroïdie, l’idée est de surveiller ce qu’on mange plus que pour une personne normale. On est plus sujet à une augmentation de son poids, puisque le métabolisme de base est bas. Donc il faut adopter une alimentation très saine, avec une charge énergétique plus faible. On privilégie donc les céréales complètes, les fruits lors des collations, et les légumes cuits vapeur.
Surtout, il faut éviter de manger trop salé. Le sel perturbe la synthèse des hormones thyroïdiennes. Mais attention, l’excès en sel provient à 85% des aliments en eux-mêmes, et non du sel de table. Il convient donc de bannir les plats préparés, raffinés à souhait.
On combat également l’hypothyroïdie par le sport. Puisque c’est un dérèglement du métabolisme de base, qui le fait baisser, il faut le faire remonter. Le sport est un excellent moyen de le faire. Il faut donc associer musculation et exercice cardio, à raison de trois séances par semaine au minimum.
Les sucres sont au centre de toutes les attentions lorsque l’on parle de programme minceur. Certains ont bonne réputation, d’autres mauvaise réputation. Aussi a-t-on établi une dichotomie arbitraire entre sucres lents et sucres rapides. Pourtant, ce n’est ce type de référent qu’il faut prendre en compte. Fitnext nous dit tout...
Sucres lents / sucres rapide, une distinction obsolète
C’est une distinction qui dispose, encore aujourd’hui, d’une publicité très importante. Et pourtant, cette réputation est usurpée. Dans l’imaginaire collectif, il existe deux types de sucres : les sucres lents d’une part, et les sucres rapides d’autre part. Les premiers auraient sur la glycémie une action plus lente, ce qui permettrait un apport énergétique plus étalé dans le temps, donc plus profitable. Les pâtes, le riz, seraient alors des sucres lents.
Puis viendraient les sucres rapides, dont l’action serait courte, brutale. Ce genre de raisonnement a encore cours chez nombre de sportifs de haut niveau et de nutritionnistes.
L’index glycémique, votre solution minceur
En réalité, il vous faut oublier ce concept. Certes, la nutrition a la mauvaise habitude de sembler fonctionner par modes successives. Un jour ceci est conseillé, quelques années plus tard c’est déconseillé… Difficile pour vous de vous y retrouver. Pourtant l’idée de sucres lents et sucres rapides ne vous rend pas service. L’explication est très simple. Un sucre, que ce soit celui contenu dans du riz ou dans une poignée de bonbons, sera passé dans votre sang dans les trente minutes qui suivent son absorption. Il n’est donc absolument pas question d’une variation de la vitesse d’absorption.
En revanche, ce qui varie, c’est votre glycémie, c’est-à-dire le taux de sucre que vous avez dans le sang. Avec une poignée de bonbons, votre glycémie atteindra des sommets. Face à cela, le cerveau commandera à votre pancréas de sécréter de l’insuline pour faire baisser le taux de sucre sanguin. Puis, face à cette baisse rapide, le cerveau, gros consommateur de sucre, se trouvera en situation de manque, d’où vos envie de sucre incontrôlées. C’est l’hypoglycémie réactionnelle.
Ce qu’il faut, c’est faire confiance à l’index glycémique des aliments. Ce référent vous indique l’influence de votre aliment sur votre glycémie. Plus le chiffre est élevé, plus il aura d’influence sur celle-ci. Il vous faut donc privilégier des aliments disposant d’un index glycémique faible, afin d’éviter l’hypoglycémie réactionnelle et les craquages en tous genres.
Les légumes verts sont vos alliés. Ils sont riches en fibres, et cela est d’une grande importance à l’heure de la digestion. Or, une bonne digestion est souvent le synonyme d’une bonne santé, étant donnée l’importance de la flore intestinale. Fitnext nous dit tout...
Se mettre au vert, cela existe aussi dans l’assiette. C’est même primordial ! N’hésitez pas à agrémenter chacun de vos repas de légumes verts. Ceux-ci sont une véritable plus-value pour votre organisme et notamment pour votre système digestif. En effet, ce sont des aliments riches en fibres. Sachez qu’il existe deux types de fibres : les solubles et les insolubles. Ces derniers sont très présents dans les légumes verts. Au contacte de l’eau, ils gonflent, occasionnant un meilleur transit en provoquant des mouvements intestinaux.
Ceci est très important, car cela vous permet de laisser, après votre digestion, votre intestin en bon état. Il sera donc d’attaque pour de nouvelles digestions, et ses performances seront améliorées. Or, ceci n’est pas vain. De vos intestins dépend votre bonne santé. La majeure partie de nos pathologies vient de l’alimentation, car celle-ci, lorsqu’elle n’est pas saine, endommage les intestins.
Ceux-ci ne peuvent alors plus jouer leur rôle de barrière immunitaire. Il vous faut donc en prendre soin. Et intégrer les fibres contenus dans les légumes verts est un excellent moyen de le faire, de par leur rôle de grands nettoyeurs.
En revanche, il faut bien faire son choix au moment d’acheter ses légumes, puis de les cuisiner. Prendre du temps pour soi, c’est aussi cela. Quitte à manger sainement, autant bien le faire !
Pour commencer, il vous faut absolument privilégier les légumes bio, issus de la production locale. Ceux-ci sont bien moins exposés aux pesticides et additifs en tous genres. Enfin, lors de la cuisson de vos légumes, évitez les cuissons au four ou à la poêle. Celles-ci augmentent l’index glycémique des aliments, et vous feront perdre la teneur en minéraux et fibres des légumes.